IMPORTANT

Notez que le parc animalier sera ouvert dès le 26 décembre de 11h à 16h et prêt à recevoir des visiteurs pour une belle journée au Zoo de Granby malgré le conflit de travail. Nous sommes conscients que le conflit aura de légers impacts sur l'expérience de nos visiteurs. Consultez la page Info conflit de travail pour tous les détails.

Loriquet à tête bleue

Loriquet à tête bleue

Répartition

Australie

Alimentation

Nectarivore

Habitat

Forêts et mangroves

Nom Latin

Trichoglossus haematodus

Statut de conservation selon IUCN

Magnifique petit perroquet aux couleurs vives, il fait partie d'une grande famille de plus de 370 espèces!

Une langue poilue et parfaitement adaptée pour la collecte du pollen et du nectar

La langue particulière du loriquet est couverte de petite projections poilues, appelées papilles, que l'oiseau frotte contre son palais afin de récupérer le nectar épongé. Il peut également broyer les fleurs, les fruits et les bourgeons. Au Zoo, les loriquets reçoivent une préparation de nectar de la main des visiteurs en période d'ouverture.

Un bec solide et des pattes agiles qui en font un véritable acrobate

Les loriquets possèdent des ailes effilées qui leur permettent de manœuvrer habilement entre les arbres. En ligne droite, ils peuvent atteindre 50 km/h! Leurs pattes sont zygodactyles, présentent deux orteils à l'avant et deux à l'arrière. En combinaison avec le bec, l'oiseau est capable de grimper ou de déplacer des objets avec une habileté remarquable.

Une vie sociale grégaire mais des couples formés pour la vie

Les loriquets à tête bleue sont monogames. Les couples se forment au sein de groupes qui peuvent compter quelques dizaines à quelques centaines d'individus. Très actifs et surtout, très bruyants, ils gardent un contact sonore constant avec le reste du groupe. La nuit, un dortoir peut compter des dizaines de milliers d'oiseaux réunis!

Capturé pour le commerce des animaux de compagnie, ses populations sont sous surveillance

On estime que l'espèce est abondante en nature; bien qu'on ne connaisse pas le nombre exact de ces oiseaux dans leur environnement naturel, on considère certaines populations en déclin, la collecte d'individus pour alimenter le marché des animaux de compagnie étant toujours active, malgré les lois qui protègent désormais le commerce de ces oiseaux.

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